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Meilleurs rhums de La Martinique, origines, rhumeries, marques

Le rhum en Martinique fait partie intégrante de la culture locale. En effet depuis les premières plantations de culture de canne à sucre au 17ème siècle, l’île est devenue un des principaux producteur français et en est devenu un des bastions les plus célèbre tant en terme de quantité que de qualité. Découvrons ensemble les origines du rhum en Martinique, les différentes marques produites localement, et voyons comment se procurer les meilleures cuvées de l’île.

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Pour commencer, voici une sélection des meilleurs rhums de Martinique, tous issus des rhumeries que je vais vous présenter :

L’histoire et les origines du rhum en Martinique

Une origine mêlant colonialisme et esclavagisme à l’origine du rhum en Martinique

Comme chez son voisin des Antilles, la Guadeloupe, ou bien à La Réunion, l’histoire du rhum en Martinique est étroitement liée à celle de la traite des esclaves et du colonialisme. 

C’est en 1635 que les colons français, sous l’égide de Pierre Alain d’Esnambuc, prirent possession de la Martinique autrefois appelée  Iouanacaera ou Jouanacaera, ce qui signifiait « îles aux iguanes ».

Les nouveaux arrivants, ayant remarqué les similarités climatiques avec l’Asie, principale pourvoyeuse de canne à sucre à cette époque, y développèrent la culture de cette plante dès le début du 17ème siècle. C’est à ce moment-là que débuteront les prémices de l’industrie du sucre, et avec elle la mise en place de la traite des hommes venus d’Afrique, qui représente une main d’œuvre gratuite et permettra donc de mettre en place cette culture sucrière à des coûts extrêmement bas.

A l’époque, la production de rhum n’est pas au centre de cette agriculture, c’est avec les résidus de cette production sucrière que l’on développe l’ancêtre du rhum de l’époque, appelé guildive ou tafia. Cet alcool, obtenu grâce à la fermentation de ces déchets agricoles, était de piètre qualité et servait principalement aux esclaves, leur permettant de tenir durant leurs heures de travail forcés.

A la fin de ce siècle, c’est grâce aux techniques de distillation mises en place par le Père Labat ( que l’on considère encore à ce jour comme l’inventeur du rhum ) que les alambics commencent à se généraliser dans les cultures de canne à sucre. Néanmoins, la mélasse restait tout de même prédominante et l’on était toujours loin de la qualité du rhum martiniquais que l’on connaît aujourd’hui. Seules quelques petites distillations de pur jus de canne à sucre avaient lieu de manière très localisée.

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Evolution du rhum de Martinique à travers les siècles

Avec une exportation vers le vieux continent très encadrée à la fin du 17ème siècle, le rhum de Martinique, souffrant d’une très mauvaise réputation, vit tout de même la législation le concernant s’assouplir peu à peu. C’est Napoléon III qui, en 1854, décida de supprimer complètement les droits de douanes, afin de pallier aux manques de vins et de cognac en métropole comme lors de la crise du Phylloxéra en 1880, qui ravagea totalement les vignes.

C’est aussi à ce moment que se développe le sucre de betterave, bien moins cher à la production que le sucre issu de la canne à sucre. Combiné à l’abolition de l’esclavage, cette concurrence metta à mal le secteur de l’industrie sucrière dans les Antilles, jugé de moins en moins rentable, et la production de sucre et de mélasse se concentra alors autour de la grande ville de Saint Pierre, alors capitale mondiale du rhum, , isolant les petits producteurs.

Afin de pallier ce manque à gagner, ces petits producteurs se décidèrent à utiliser leur culture de la canne à sucre pour produire  directement le rhum, sans passer par la mélasse. C’est la naissance du rhum agricole.

En 1902, l’éruption de la Montagne Pelée détruit entièrement la ville de Saint-Pierre et emporte quelque 30 000 Martiniquais. Ce sont donc ces petits producteurs, autrefois isolés, qui reprirent le relais et le rhum agricole prit de plus en plus d’ampleur, jusqu’à représenter un tiers du rhum de Martinique.

Petit à petit, l’industrie du sucre laissa totalement la place à celle du rhum, bien plus rentable, et la Martinique devint l’un des principaux exportateurs de rhum au début du 20ème siècle, notamment pour fournir les soldats durant la première et la deuxième guerre mondiale. Ce soudain essor eut pour conséquence de provoquer la colère des producteurs d’alcool du vieux continent qui réussirent à obtenir une mise en place de quotas d’importation.

Avec ces nouvelles restrictions, le nombre de distillerie chuta à nouveau et le rhum agricole fût principalement produit, délaissant en bonne partie la production de mélasse. A la sortie de la seconde guerre mondiale, on comptait environ 150 distilleries en Martinique, et les décennies qui suivirent enregistrent une extrême concentration de la production pour ne compter actuellement qu’une dizaine de rhumerie.

Le rhum Martiniquais, premier à obtenir un label AOC

Durant cette seconde moitié du 20ème siècle, la qualité du rhum produit en Martinique ne cessent de s’améliorer et c’est en 1996 que, grâce à la qualité exceptionnelle de ses rhums agricoles, elle obtiendra une AOC ( appellation d’origine contrôlée ), une première au monde pour ce breuvage.

Cette appellation, délivrée par l’institut national des appellations d’origine et décernée sur des critères particulièrement exigeants, met en avant le savoir-faire martiniquais au niveau de sa production de rhum agricole. Avec cette distingation, le rhum blanc martiniquait se met au niveau des meilleurs alcool au monde et est toujours à l’heure actuelle le seul à bénéficier de cet honneur.

Depuis, le rhum de Martinique raffle une quantité impressionnante de médailles d’or lors des concours organisés chaque année, et ses plus grandes distilleries réalisent pour beaucoup des embouteillages exceptionnels.

Découvrez ce magnifique reportage sur le rhum en Martinique

Les grandes rhumeries en Martinique

De nos jours, on dénombre encore 9 distilleries en Martinique, que l’on peut pour la plupart visiter durant son séjour sur cette île. Parfois appelé rhumerie, ces grandes maisons du rhums sont réparties sur tout le territoire et se démarquent pour beaucoup en proposant d’excellentes cuvées reconnues par bon nombre d’amateurs. 

distillerie de Martinique carte

La distillerie A1710

Lancée par une famille ancienne de Martinique, la Famille Assier de Pompignan, cette distillerie est une des dernières à avoir vu le jour sur l’île. Son nom vient de l’année ou les ancêtres fondateurs de la famille ont mis le pied en Martinique.

Située sur la commune du François, la rhumerie à élu domicile sur l’Habitation du Simon, où se trouve la distillerie du même nom.

Elle élabore des rhums AOC, parfois bio, à l’aide d’un alambic Privat composé d’une cucurbite de cuivre chauffée à flamme nue, et d’une petite colonne munie de 7 plateaux. Ce magnifique outil est surnommé La Belle Aline.

Après avoir débuté avec l’élevage de rhum vieux sélectionné ailleurs, A1710 produit depuis 2016 à partir de ses propres jus de canne ( en complément de ceux de petits planteurs ) des rhums blancs agricoles hauts de gamme. Elle garde également une partie de sa production pour le vieillissement en fermentation longue.

La rhumerie Simon, productrice des Rhum Clément et HSE

Sucrerie jusqu’en 1938, elle s’est ensuite consacrée exclusivement à la fabrication de Rhum et dispose, depuis son domaine de Saint François de 4 colonnes créoles afin de fournir le vesou pour les rhums Clément et HSE. Ces dernières transfèrent ensuite le rhum pour la mise en bouteille et le vieillissement.

Le Rhum Clément

Fondée en 1917 par Homère Clément à la place de l’ancienne sucrerie du domaine Acajou, la distillerie sera rachetée en 1986 par Bernard Hayot. Le coulage du rhum sera à ce moment là transféré à la distillerie du Simon à Saint François mais Clément garde la main sur le vieillissement et la réduction.

Depuis 2001, le Rhum Clément s’illusttre particulièrement avec le renouvellement annuel du premier blanc monovariétal jamais lancé, le fameux Canne Bleue Millésimé ( Qui est distillé quand à lui chez J.M ). Clément propose également une gamme de rhum pléthorique ainsi que quelques rhums vieux à un excellent rapport qualité/prix.

HSE ( Habitation Saint-Etienne )

Les rhums de chez HSE font partie des plus créatifs et reconnus dans le monde.  C’est en 1984 que Yves et José Hayot ont racheté l’Habitation Saint-Etienne ( HSE) qui avait du mal à se démarquer depuis les années 1980.

C’est alors qu’ils ont déplacé sa colonne créole en cuivre dans la distillerie Simon tout en laissant les Chais au gros Morne sur le site d’origine. Depuis 2000, HSE est le premier à avoir millésimé des rhums blancs et s’est depuis distingué avec les fameuses gammes Expert Cask et Finitions du Monde. Pour cela, ils utilisent différents types de fût, ayant accueilli auparavant des grands crus de vin.

La distillerie JM

Située dans les contreforts de la Montagne Pelé, à Macouba, la distillerie J.M ainsi que les plantations ont été rachetées en 1914 par Gustave Crassous de Médeuil, dont l’on peut toujours voir le nom apparaître sur les étiquettes. En 2002, c’est le groupe Bernard Hayot qui reprend la marque.

Cultivant uniquement le jus de ses propres cannes, J.M produit essentiellement des rhums vieux avec des cuvées hors d’âge faisant la joie des plus grands amateurs du breuvage.

Récemment, la marque à entrepris un tournant en laissant de côté son image traditionnelle pour rajeunir son image et ainsi conquérir le marché des bars avec sa nouvelle gamme « L’atelier des rhums », mise en avant par la nouvelle maître de Chai, Karine Lasalle.

Rhumerie Depaz et Dillon

Après la terrible éruption de la montagne Pelé en 1902, l’Habitation La Montagne, appartenant à la famille Depaz, à été remise en état de marche par le dernier fils de la famille, alors orphelin, qui, revenant de métropole pour se diriger vers le canada, fît une halte forcée en martinique suite à une panne du paquebot sur lequel il embarquait. Il ne remontera jamais à bord, et , réhabilita l’ancienne exploitation familiale sur les mêmes lieux du drame.

Appartenant aujourd’hui au groupe La Martiniquaise ( également propriétaire des rhums Saint-James et Dillon ), la distillerie utilise ses propres cannes à sucre pour produire une large gamme de rhum allant de l’agricole blanc à 50° aux millésimés, en passant par les rhums vieux.

Depuis l’année 2006, la distillerie héberge également la colonne de distillation de la marque Dillon, dont le nom vient d’un ancien colonel embarqué pour la guerre d’indépendance américaine, Arthur Dillon.

Après être tombé amoureux d’une créole lors d’une escale en Martinique, il revint quelques années plus tard à la fin des hostilités. Il débute alors la production sucrière et c’est seulement au 19ème siècle, avec un autre propriétaire, que la maison commencera la production de rhum.

Malgré une centralisation de la distillation chez les Depaz, Dillon garde tout de même ses Chais au cœur de l’habitation historique et y vieillit toujours ses rhums qui font partie désormais des excellent rapport qualité/prix en Martinique.

Rhumerie Saint James, qui distille également pour J.Bally et les héritiers Madkaud

La célèbre marque à la bouteille carré à vu le jour lorsque Paulin Lambert, un négociant marseillais, fît l’acquisition en 1882 de 4 petites distilleries martiniquaises pour n’en former qu’une, la distillerie Saint-James.

Visionnaire, l’homme développe à l’époque d’incroyables campagnes publicitaires pour ses produits et réussit à s’imposer parmi les plus gros distillateurs de l’île. De nos jours, la distillation est regroupée sur le site de Sainte-Marie, entièrement rénové, et se fait à l’aide de colonnes créoles en cuivre.

Sa large gamme regorge de petites pépites sous-estimées ainsi que de vieux rhum à l’excellent rapport qualité/prix. Ses vieux millésimes et ses Single casks sont, eux, traqués sans répit par les collectionneurs.

De nos jours, Saint-James est le premier producteur de rhum français et distille également pour d’autres marques comme Bally et Madkaud.

J.Bally

Jacques Bally, un jeune ingénieur parisien, arrive en 1917 en Martinique pour racheter la plantation sucrière Lajus avant d’y installer une distillerie quelques années plus tard.

Ce visionnaire a construit lui-même sa colonne de distillation créole et a été le premier à mettre en place la notion de millésime suite à la rencontre de producteurs de Cognac et d’Armagnac dont il copiera les techniques de vieillissement pour les adapter au rhum.

Il fût également à l’origine de millésimes de légende de 1960, aujourd’hui quasiment introuvable et bien souvent devenu rêve inaccessible pour les collectionneurs. On peut encore trouver néanmoins des grands crus millésime d’une rare qualité comme le Bally Millésime 1997 ou le Bally Cuvée Héritage.

Aujourd’hui, Saint James s’occupe de la distillation des rhums Bally, mais avec des spécifications bien précises en termes de vieillissement et de méthode de distillation.

Les Héritiers Madkaud

Avec un sommet au niveau de sa popularité dans les années 1950-1960, le rhum Madkaud, qui à été fondé à la fin du 19ème siècle en 1895 par un fils d’esclave, à ensuite perdu le fil.

Mais depuis sa réactivation en 2007 par l’héritier de 3 ème génération Stéphane MadKaud, la marche retrouve une seconde jeunesse. La colonne de distillation d’origine à disparu, mais la distillerie de Sainte-Marie produit ce rhum selon les spécifications précises de la marque, en rhum d’AOC.

La marque produit principalement 2 gammes de rhum, la cuvée Castelmore, très subtile, et une deuxième depuis 2017, les cuvées Renaissance, plus riches.

La Favorite

Avec Neisson, La Favorite fait figure d’exception en faisant partie des 2 maisons familiales et indépendantes de Martinique. Appartenant à la famille Dormoy depuis 1905, La Favorite met l’accent sur le côté traditionnel et est la seule à encore faire fonctionner sa rhumerie uniquement à la vapeur.

La coupe de la canne à sucre respecte également les règles anciennes avec une coupe exclusivement à la main ainsi qu’une fermentation plus longue par rapport aux pratiques en Martinique avec une durée d’environ 72 heures. La distillation, elle, s’opère dans 2 colonnes différentes en cuivre pour l’une, et mi-acier mi-cuivre pour l’autre, et le vieillissement se fait avec ouillage régulier dans des barriques de 180 litres.

Particulièrement reconnu pour sa cuvée prestigieuse Le Flibuste, qui s’arrache à prix d’or parmis les collectionneurs, la marque produit également d’autres très grands crus de rhum vieux ainsi que des cuvées exceptionnels en rhum blanc.

La distillerie indépendante Neisson

Autre distillerie indépendante en Martinique, mais également la plus petite, Neisson produit l’un des rhums les plus récompensés dans les concours internationaux et à juste titre.

C’est en 1932 que les frères Adrien et Jean Neisson commencèrent à distiller à partir de leurs propres cannes. Aujourd’hui, mettant un fier accent sur son indépendance, la plantation de 40 hectares fournit la canne nécessaire à la production d’un rhum reconnu à travers le monde entier et fait la fierté de tous les Martiniquais.

Passé à l’agriculture biologique depuis 2013, la maison Neisson utilise également ses propres souches de levure et distille sur une colonne Savalle modifiée faites entièrement de cuivre.

En 2016, la marque est la première à lancer un rhum blanc bio certifié Ecocert, et sa fameuse bouteille « Zépol’Karé » à vu sa gamme de rhum vieux subir un lifting pour célébrer les 85 ans de la distillerie, en apportant notament une maturation en fut de chêne neuf.

Maison La Mauny, abritant également la colonne de distillation de Trois Rivières

Faisant partie des rares distilleries situées dans le sud de la Martinique, la maison La Mauny fut fondée en 1749 par un Breton, Ferdinand Poulain, comte de La Mauny.

La plantation, qui cultivait la canne à sucre à l’origine, arrête totalement sa production de sucre en 1883 pour se convertir au rhum à l’aide d’un alambic à repasse et ainsi pouvoir faire face à la crise du sucre faisant des ravages à cette époque. Elle mit en place sa première colonne de distillation en 1929 suite au rachat de l’entreprise par les frères Bellonie.

Bien qu’elle cultive ses propres cannes, elle fait également appel à une vingtaine de petits producteurs afin de compléter sa production.

Après avoir entrepris une large démarche de modernisation, le groupe composé également des marques Trois Rivières et Duquesne passe au main du groupe Campari en 2019.

Le rhum Trois Rivières

Fondée en 1661, la plantation sucrière Trois Rivières fait partie des plus anciennes de Martinique. Ce n’est pourtant qu’au début du 20ème siècle que le domaine se consacre uniquement à la production de rhum.

Sa distillerie cessera de fonctionner en 2004 sur le site d’origine, qui depuis s’est transformé en lieu touristique majeur de l’île,  pour reprendre le fonctionnement sur le site de La Mauny et subira le même sort que cette dernière en filant au main du géant Campari en 2019.

Depuis 2014, Trois-Rivières à opéré une large montée en gamme en classant ses rhums blancs agricole parmi les plus prestigieux de ce département d’outre mer.

Le Galion

La dernière sucrerie de Martinique produit également un rhum bon marché destiné principalement aux supermarchés. Ce rhum, issu de la mélasse, est distribué sous le nom de Grand Fond Galion.

Elle produit également un rhum de mélasse de longue fermentation aux arômes de fruits exotiques dont seule la sucrerie a le secret. Ce rhum, nommé Galion Grand Arôme est utilisé dans plusieurs applications comme l’assemblage de rhum, la parfumerie, ou bien l’agro alimentaire, et est particulièrement reconnu pour la puissance de ses arômes.

Les meilleurs Rhums de Martinique

Comme toute région productrice de rhum, on pourra distinguer en Martinique les productions destinées à être vendues au plus grand nombre, notamment dans les supermarchés ou les épiceries, mais également les grandes cuvées destinées aux amateurs de rhums.

Découvrez une sélection des meilleurs rhums issues des grandes distilleries de Martinique :

Rhum La Favorite – Cuvée spéciale de La Flibuste – 1999

La Flibuste est l’emblême de la marque La Favorite : mais peu d’heureux élus auront le privilège de faire la dégustation de cette édition limitée qui paraît chaque année ! 

Issu d’un repos de 20 années en fûts de chêne dans les chais du Domaine, ce rhum hors d’âge a été embouteillé à la main : chaque bouteille est numérotée et cachetée d’un sceau de cire.

De sublimes saveurs de fruits confits, de vanille, de chocolat noir et de réglisse : telle est la récompense qui attend ceux qui auront pu se procurer l’une d’elles !

La Favorite Réserve du Château 2002 43°

Ce rhum hors d’âge provient d’un assemblage de rhums ayant vieilli durant 12 années sous le regard attentif de Robert Charles, Maître de Chai de la Maison depuis 30 ans. Robert Charles est véritablement le personnage clé dans l’élaboration des rhums de cette belle Maison. Son expertise lui permet une maîtrise, une justesse indispensable à l’élaboration des prestigieuses Cuvées La Favorite.

La dégustation de ce Millésime 2002 révèle une structure vive et complexe dominée par les notes de fruits secs et d’épices qui font de La Réserve du Château 2002 un millésime idéal à savourer en digestif.

Saint James Single Cask Rhum

Le rhum vieux Saint James single cask se dévoile dans une version millésimée de 1998, teintée d’arômes fruités et de notes torréfiées. Délicieusement sublimé par un fond boisé, son profil est réservé à la dégustation, afin de profiter de toute l’essence de ce rhum AOC Martinique vieilli 10 ans.

Un seul fût de cette création est disponible, limitant la production à une quantité confidentielle.

Saint James 16 Ans Vieux Quintessence

Déguster le rhum vieux Saint James Quintessence, c’est goûter à une sélection des meilleures cuvées de Saint James. Cet assemblage exceptionnel fait la promesse de découvrir en une gorgée toute la richesse aromatique de la Martinique. Unique, le rhum vous offre une expérience gourmande, où douceur et fruité s’accordent au milieu d’un boisé délicat.

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